Psilozone_playlist (d194)

crédit image : TheoJunior, cc-by-nc-sa

d194 Result

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24897894770_42e191bdfa_o.jpg Null & Void, par 0, du black metal dépressif cristallin et mélodique pour la plainte éternelle d'un corbeau dans la tempête.

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24960344380_5019deae85_o.jpg Peacock Black, par 3rd Ear Expérience, du stoner rock instrumental et psychédélique, transe groovy au cœur de la folie.

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33460501704_5499d6f2b3_o.jpg S/T, par 5ive. Du drone speed/heavy doom instrumental, tempête de goudron en fusion pour une débauche de son hallucinée et macabre.

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50458274882_ecf7d11333_o.jpg Diminution, par Leila Abdul-Rauf, un jazz de chambre lunaire, profond et unique pour des forêts hantées par des fantômes vides.

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49962840662_ed8c384ea0_q.jpg Hexerei im zwielicht der finsternis, par Aghast, une messe noire dark ambient aux accents de sorcellerie menée par la voix spectrale d'une incantatrice droite venue des forêts limbiques.

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30881520374_cbeb9d54f2_q.jpg Mei-Jyu, par Alio Die et Jack or Jive, ambient ritualiste pour clairières, sources et fantômes.

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50910893708_c5477c40af_o.jpg Leviathan, par Alt236, de l’ambient-synth plein de vapeurs et de mystères, pour s’enfoncer dans les dimensions.

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24565312843_8a9e4f4f14_o.jpg White Hoarhound, par Alunah, un stoner doom metal à chant féminin scandé, celtique et druidique, une énergie entièrement dédiée à la forêt.

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50910893198_d5f5375dc2_o.jpg Mass III, par Amenra, le plus millevalien des albums de post-hardcore, une litanie rituelle au Dieu-Corbeau jusqu’aux bords de l’inconscience.

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24843519871_9bbe6e6d5c_o.jpg Mass V, par Amenra, post-hardcore incantatoire scandé en l'honneur du Dieu-Corbeau.

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50392241738_b29c0a24cd_o.jpg Ancient Lights, par Ancient Lights, du stoner-drone mélodique des plus ritualistes pour une enfoncée enfumée dans les forêts limbiques.

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30004657346_f10104bc99_q.jpg Warrior, par Anilah, du chant féminin rituel et tribal inspiré des cultures natives d'Amérique du Nord. Apaisant et hypnotique.

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26547683486_b63c63947f_q.jpg Planetary Confinement, par Antimatter. Jamais album acoustique au chant clair n'aura sonné si grave et si beau à la fois. Notre âme solitaire dans un monde laissé à l'abandon.

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50910892943_495a75e77b_o.jpg Anticosmos, par Arckanum, du black métal païen, forestier, primitiviste et doom pour répondre présent à l’appel animal.

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26543675495_0fd6f3e389_o.jpg La Masquerade Infernale, par Arcturus, du métal avant-gardiste aux croisement entre black metal à chant clair, dark folk et rock progressif, porté par un chant clair en proie au délire grandiloquent, convent de sorciers, millénaire détraqué, nef des fous.

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24882821159_96a0324b80_o.jpg Alunar, par Aureole, du black metal spatial instrumental pour châteaux abandonnés dans le vide.

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30315006495_59357b98a3_q.jpg Arrow and Orb, par Bad Braids, un chant féminin folk, intime et wiccan.

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50915347637_d31ffdf589_o.jpg S/T, par Bardo Pond, la messe mescal-folk et psyché-drone la plus triste et la plus intronaute de tous les temps marquée par un chant féminin flottant au-dessus d'un océan de drogue.

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50915219261_5b40a9e992_o.jpg Ancestral Star, par Barn Owl, de l’americana-drone des plus psychédéliques, pour un égarement lumineux dans les strates du monde.

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50915219421_630510eaa2_o.jpg V, par Barn Owl, du drone ambient psychédélique comme une ruine à fleur de peau qui cache des éveils de fantômes en extase.

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50915219601_1830b06ec7_o.jpg Lost in the glare, par Barn Owl, l’étrangeté d’un monde qui se dissout dans le psyché-drone cristallin.

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25762802691_571d49d0bf_o.jpg Fréquence Néant, par Baron Oufo, entre dark-ambient, drone et musique minimaliste, voyage au bout de la nuit, voyage au bout de la ruine, voyage au bout de sa vie.

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50607928173_c812db9a0d_o.jpg Ardor, par Big Brave, un post-hardcore aux drones aussi profonds que mélodiques, avec un chant féminin rituel et poignant, pour se traîner jusqu’au bout de la nuit.

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50910893098_9fd4a4731f_o.jpg Tales of the Night Forest, par Black Hill & Silent Land, du post-rock sur la beauté et le mystère des grands espaces.

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24569219249_66e04e9679_o.jpg Summon, par Bloody Panda, messe noire, lyrique et drone, au pinacle de la nuit.

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26522012625_5a9e86d99b_o.jpg We are, we were and we will have been, par Bong, drone-ambient à sitar, englobant, rassurant, hypnotique, qui resserre son emprise de plus en plus doucement.

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26455922801_4871eef24f_o.jpg Beyond Ancient Space, par Bong, du psyché-drone ritualiste à sitar, cosmique, cultiste, massif, exotique, un Grand Ancien qui se mord la queue.

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50911714427_7b2cf5c5d7_o.jpg Feedbacker, par Boris, l’album de drone le plus larsenisé, le plus mélancolique et mélodique de tous les temps, pour une apocalypse blanche

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26458399981_45a1d424ab_o.jpg Altar, par Boris & SunnO))), le meilleur du drone, de la noise et de l'americana pour une transe rituelle et mélodique, entre climax de pyramide maudite et prières apaisées

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50911714387_e3d0aa89fc_o.jpg We are falling, par By The Spirits, du dark folk à la fois désenchanté,  majestueux et presque martial, qui se perd dans les tréfonds de la forêt pour émettre le triste constat de la déchéance humaine.

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25938692814_149cffe94e_o.jpg Passion Rift, par Chowder, du doom metal progressif et instrumental, pour excursions lovecraftiennes en carton-pâte et cauchemars psychédéliques.

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26558463625_604f85802b_o.jpg La Cassette Noire, par Clair-Obscur, l'un des cauchemars les plus dérangeants de ma collection.

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50911714127_e112a5f4c8_o.jpg Autumn, par Cold World, une grande fresque de black métal dépressif et cristallin à chant clair, jamais le désespoir n’a été aussi beau et tentan

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25938692454_7539c6025f_o.jpg Salvation, par Cult of Luna, un chef-d'oeuvre du post-hardcore, hurlant, introspectif, mélodique, répétitif, infini, révolté, apaisé, marin, souterrain, un rituel de souffrance et d'extase devant la beauté du monde qui meurt.

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26543675855_77d5f91ed0_o.jpg Aleph At Hallucinatory Mountain, par Current 93, du rock / americana / dark folk au chant hypnotique et rêveur pour un enfoncement ésotérique et circulaire dans un monde occulte et alchimique très personnel.

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50915219311_22a00dc8b1_o.jpg Cantus, Descant, par Sarah Davachi. Une messe forestière magnifiée par des orgues éthérés.

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25857878275_53f27c5ecc_o.jpg Malkhut, par Dédale(s), un bourbier de dark ambient bruitiste et texturé, qui s'enfonce dans des territoires de plus en plus ténébreux, humides, caverneux, utérins, vers un abandon de soi et une transe horla habitées de gargouillis, de grognements et de chauves-souris toutes de malignité tressées.

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25203215540_3b5895cc13_o.jpg Une belle journée, par Nicolas Dick, de l'ambient riches en nappes, en bourdons et en élégies, un long assouplissement d'un seul et même monde dans son dernier soupir.

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23213036571_7838b2770c_o.jpg A Night in the Woods, par Dino Van Bedt, post-americana sans paroles, avec drone et field recordings, une traversée séminale et ténébreuse de la forêt de Millevaux. Composé spécialement pour Millevaux !

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25857877965_d2485b54d0_o.jpg Marijuana, par Dope Smoker, du stoner rock sous substances et influences sabbathiques, lourd, enfumé, dédaigneux et baveux.

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50911714717_5bf0936ba5_o.jpg Forest Echo, par Doron, un dark ambient tout en drones et en bruits blancs, peinture de la désolation sauvage.

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25250940135_d94da65242_o.jpg Drowning Horse, par Drowning Horse, du sludge doom psyché caverneux et incantatoire, au fin fond de la terre avec Shub-Niggurath.

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50911582971_6d750a534c_o.jpg The Sachem’s Tale par Dzö-nga, du folk black metal inspiré du folklore amerindien (tribu des algonquins) alternant chant féminin éthéré et hurlé : la fragilité et la sauvagerie de la nature en plein conflit.

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24954885110_c455351e26_o.jpg A Bureaucratic Desire For Extra Capsular Extraction, par Earth, les tout premiers élans du drone, massif, répétitif, lysergique, chthonien.

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24309507053_2968e9591c_o.jpg Hex Or Printing In The Infernal Method, par Earth (americana dronisante et instrumentale pour western sous acide)

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24326535033_e690fa41d8_o.jpg Primitive and Deadly, par Earth, americana-psyché-drone, aventure sous mescal dans une nature hallucinée.

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22694807258_6cc9eeee97_o.jpg Rutsu No Hoyo, par Empusae (dark ambient ritualiste)

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25073845612_3d20a37a93_o.jpg Sphere from the woods, par Empusae, de l'ambient ritualiste pour un parcours animiste dans la forêt des rêves perdus.

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24565307983_976e8b91d6_o.jpg Des veines à l'eau creuse, par Enord, un dark-ambient drone avec des cuivres rituels, mantras caverneux et prières insectoïdes, marécageux et incantatoire.

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25917072754_41a619d146_o.jpg Hydra Lernaïa, par Eryn Non Dae, du death-metal sludge progressif, la lourdeur et la complexité incarnée, pour une ultime et respectueuse démolition du corps, du monde et de l'esprit avant la fin des travaux

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25921609043_05bdcb4693_o.jpg The Maniacal Vale, par Esoteric, du doom metal avec chant caverneux et guitares cristallines, un cycle interminable de réincarnations morbides et sublimées.

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24561445484_83c20debe1_o.jpg Embrace The Emptiness, par Evoken, du funeral doom metal monolithique, aussi rêche que cristallin, une mise en matière du désespoir.

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Owsla, par Fall of Efrafa, du post-hardcore en plein climax, la bataille désespérée de David contre Goliath

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23087291246_c10a08226c_o.jpg Aokigahara, par Flowers for Bodysnatchers, dark ambient forestier à pianos fragiles.

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24561455984_761819a5be_o.jpg Frjee feather EP, par Forest Swords, un post-rock dub psyché et mazouté à souhait !

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50582840767_957f9f2de6_o.jpg Springtime Depression, par Forgotten Tomb, la perle noire du black métal dépressif et mélodique pour une excursion cauchemardesque en forêt vers cette maison abandonnée où l’on pourra tranquillement se livrer au suicide.

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50421995367_92a306ef2c_o.jpg The Divine Punishment, par Diamanda Galas, l’incantation sorcière à son pinacle.

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26477597321_3ddc5b8a60_o.jpg Violet Dreams, par John Gallow, du heavy doom metal aux relents très seventies, aussi sabbathique dans les riffs que dans la voix, pour tous ceux qui rêvent de messes noires, d'horreur gothique et de sword and sorcery sans le chant rauque qui va presque toujours avec.

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27688870881_e8a8481187_q.jpg Ventre, par G-Nox, entre dark ambient, noise et musique concrète, le son humide des profondeurs intestines et sans âge.

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26270796790_865ceb9fd7_o.jpg Pentagon Black, par Goliath Bird Eater, du psyché-drone ritualiste assez facile d'écoute, une forêt de boucles en l'honneur de déités sourdes, aveugles et arachnoïdes.

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29457859924_10b7bb0fb6_q.jpg Doomsdayer's Holiday, par Grails, du post-rock oriental, psyché et dronisant, tantôt mélodique, tantôt sombre, tantras d'anciens temples profanés par les racines.

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50911714187_b8a4c444e5_o.jpg Ashen Blood, par Green Druid, du stoner doom bien old school, incantatoire, fumeux et métallique pour des messes noires et des épopées hallucinogènes.

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25762801751_a586c016dd_o.jpg Dead in the woods, par Grey Daturas, du stoner/sludge bruitiste, instrumental et chamanique, lourd, lent, rotatif, fuzzy, décérébré, jouissif, planant

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26543675465_517bf0e3a6_o.jpg From Mars to Sirius, par Gojira, du death metal moderne, épique et tellurique, une matière lourde, noire, blanche et cosmique qui vient tout écraser sur son passage. Avec majesté.

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24623689033_d5f6ea9a7d_o.jpg Fallow Fields, par Harrow, au croisement entre Ennio Morriconne, le post-rock et le folk black metal, une épopée mélodique et lointaine.

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24309510023_61cfe436c0_o.jpg Lashing the Rye, par Harvestman, americana dépressive, sur la superstition paysanne et la grandeur des espaces confinés.

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50694293606_04258a9281_o.jpg In a dark tongue, par Harvestman, un manifeste space folk et psyché-drone, aboutissement extra-dimensionnel d’un rituel forestier.

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50901137002_2228bc605a_o.jpg Trinity, par Harvestman. Du folk psychédélique sans parole au cœur des labyrinthes de la forêt et de l’âme.

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25131275239_497dce78ac_o.jpg S/T, par HKY, un post-hardcore lourd, noir, spatial, à fleur de peau : tristesse, abysse et goudron.

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26517680966_c8e94e01bb_o.jpg Cursus Impasse The Pendlomic Vows, par Howls of Ebb, du post-death metal occulte, technique, varié en n'oubliant jamais de rester tendu, pour sabbats horlas déchaînés et massacres au fond des bois où l'on glisse sur les intestins répandus.

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24872097043_0c886f5946_o.jpg Open the Gates of Shambhala, par Huata, du stoner / doom / sludgecore / noise, pour une messe noire fumeuse et baveuse avec des tripes, de la drogue, du sexe et des morts-vivants

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25192118015_1509acb84d_o.jpg Hugging the Earth, par Hugging, drone strident avec des infra-ondes de cordes, vaste caverne de cauchemars étroits.

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26522013565_70537c32b4_o.jpg Fragment of Sirens, par Icos, du post-hardcore dans la plus grande tension entre lourdeur et mélodie, une âme en peine qui remonte de terre à n'en plus finir.

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24565298773_77cf1d6ecf_o.jpg Heart Ache & Dethroned, par Jesu, du post-indus halluciné et déchirant, pour un parcours au coeur d'une vie désespérée.

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25472696556_d5018a8796_o.jpg Jex Thoth, par Jex Thoth, du stoner doom metal à chant féminin incantatoire, fumeux, charnel et entêtant, une messe de la fertilité.

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50910893258_c91ecc4644_o.jpg Duchy Rogowca, par Janusz Jurga, de l’ambient techno qui fait amplement référence aux sons de la forêt et au folklore rural le plus angoissant et hypnot

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26550769538_64349ff8cb_o.jpg Lost Chants / Last Chance, par Kandodo McBrain, un morceau de bravoure total en matière de rock psychédélique / acid western instrumental, la plus lysergique des soupes primitives.

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30881520444_0f88bd0b1d_q.jpg Time and Space, par Kaosmos, piano au fur et à mesure augmenté de réverb pour la traversée de la désolation.

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26249166340_6862f8160a_o.jpg Chaos is my name, par Khlyst, du drone avec un chant féminin qui navigue entre l'extrême du rauque, du cri et du chuchotement, de la sorcellerie faite musiqu

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50694293551_022676e565_o.jpg Created in the image of suffering, par King of Woman, un stoner doom avec un chant féminin incantatoire et hypnotique pour une chevauchée épique et rituelle à travers les bois.

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25938692964_9d229a7786_o.jpg Terraformer, par Knut, du post-hardcore post-apocalyptique de bunker, aussi lointain et noisy que superbement produit et évocateur. Une dystopie en noir et blanc. Un trip aseptisé qui vous emporte trop loin dans les coursives, avec des compagnons seulement à moitié réels.

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24619840744_b43a2ab7ef_o.jpg Hyperion, par Krallice, un black metal spatial et instrumental, lumineux, intense et habité.

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50582840787_664470f9ff_o.jpg La Violette Epineuse, un mélange de dark synth et de post-punk avec un chant féminin en français hanté, pour des cauchemars intimes au coeur d’une forêt qui nous renvoie dos à dos avec nos obsessions

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26505518591_62a121519e_q.jpg Lisieux, par Lisieux, du néo-folk, une guitare entêtante, un chant féminin vaporeux, la forêt qui se referme sur elle. Bienveillante... ou non

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40421749401_204360d3b6_o.jpg Water’s Ruins par Loki Fun Lilith, du dark ambiant noisy, inondé dans une cave sous un marais sous un arbre sous une voix d’outre-tombe

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50664813381_bacbd94b8a_o.jpg Gramarye, par Lotus Thief, un album mélangeant musique métal cristalline et chant féminin heavenly incantatoire : une ancienne messe païenne.

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50608673241_7b64687b94_o.jpg Deeper Woods, par Sarah Louise, du psych-folk d’une belle intensité, une expédition au cœur de la forêt en compagnies des dames qui l’habiten

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50664891712_6786b81f70_o.jpg Cast of Mind, par Kali Malone. Un drone extatique, un orgue endormi qui vous rêves à travers des tunnels de branchages interminables.

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25132211642_d3b95759ee_o.jpg Mare Decendrii, par Mamiffer, du piano / ambient / post-rock / noise à chant désincarné pour une mise en lumière de la désolation.

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25231323313_b90112413b_o.jpg Be all and end all, par Manes, du death-rock / trip-hop glacé et souterrain, au fin fond des cavernes intimes et peuplées de nos fantômes les plus glacés et promiscuitair

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30459068972_a2d567ce8e_q.jpg Landscape of Descent, par David D. McIntire, du drone ambient entre caverne, pluie et bois, la musique intime de la forêt.

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50911714272_515f3e6b00_o.jpg VII Warmth Within Endless Emptiness, par Melanohelios, du dark ambient facile d’écoute, à la fois planant et glacé, humide et spectral.

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50392241703_606e79c4c8_o.jpg Sleeper, par Daniel Menche, un drone fait de bourdonnement et de résonnance, mélodique et sombre pour se faire happer par un voyage nocturne

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24311541393_6197c6b876_o.jpg Morphogenesis, par Mind Necrosis Factor, electro-ambient oriental, voyage exotique au cœur de l'emprise.

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26458399081_76fbb55c04_o.jpg Parasignosis, par Mitochondrion, du post-death metal occulte, rapide, technique, enfumé et caverneux, pour des lendemains de messe noire qui dégénèrent en avènement d'Entités Mythologiques.

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26544435285_e5110abea0_q.jpg Dioxydes, par Mlada Fronta, entre électro minimaliste et post-indus, une excursion hypnotique dans les cités et contrées fantômes désolées où toute vie a abdiqué

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50910893153_846e3191a3_o.jpg Below, par Monachus, un post-hardcore bien lourd et psychédélique, pour des cultes aux dieux-lianes et à leurs potions révélatrices des forêts inférieures.

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26271270830_ce5ce1102b_o.jpg Dead Men Tell No Tales, par Monarch, entre drone, extreme doom et sludgecore, une sorcière en proie à la possession, d'une lenteur à vous démembrer. Ne s'arrêtant que le temps d'un murmure de folie.

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50557458073_d634b648f0_o.jpg Never Forever, par Monarch, du drone-sludgecore assagi, toujours aussi pesant dans les instrus mais marqué par un chant féminin tour à tour éthéré et désespéré, une incantation de sorcellerie qui éventre la nuit.

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26498544926_7f33d7c66c_o.jpg Arriving Angels, par Helen Money, du violoncelle amplifié, sombre, beau et doom à la fois, l'orée de la forêt entre légèreté et désespoir.

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25380350412_b846a41f7e_o.jpg Dolmen Music, par Meredith Monk, chant soprano, choeurs masculins et orchestre de chambre pour une ode destructurée aux frontières de l'apaisement, de la folie et du paganisme

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26251632200_3b48e0eb2a_o.jpg Rays of Darkness, par Mono, du post-rock quintessenciel qui migre à fleur de peau du climax émo vers une noirceur screamo et un final noisy, la métaphore des graines de ténèbres où germent, éclosent, vibrent et meurent des êtres en perdition.

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25405996161_5a198026c3_o.jpg The finest day i ever lived, was when tomorrow never came, par Monolithian, à la croisée du sludge, du doom et du black metal, l'album de l'abysse éructante et stupide, mer de naphte et tête emplie des remugles de Shub-Niggurath.

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50558322027_379619f74e_o.jpg S/T par Monoliths, un drone doom sans parole massive et vénéneux pour rituels cosmiques à des majestés chtoniennes.

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24825904639_a61b02b0e6_o.jpg The River EP, par MonumentuM, du coldwave scandé et transi, entre baptême païen et noyades répétitives.

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26455923091_6afe9f2f42_o.jpg The Ties that Blind, par Mouth of the Architect, jamais post-hardcore n'aura sonné plus épique, plus vaste et plus immortel.

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24549008279_8d6218163c_o.jpg Truth Becomes Death, par Nadja, chef d'œuvre du drone musical pour un parcours alchimique absolu, du plus léger au plus lourd.

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34322025835_1f44d897ec_o.jpg Sievert, par Nadja, du drone mélodique et texturé pour traverser l'hiver nucléaire.

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25953483754_6e6b146949_o.jpg Radiance of Shadows, par Nadja, entre drone et shoegaze, la lumière du Jugement Dernier qui progresse jusqu'à la catharsis finale.

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25938692684_ef6103c1fc_o.jpg Through Silver in Blood, par Neurosis, du post-hardcore crust, indus, celtique et tribal à la pointe de la rage et du désespoir, une incantation brûlante à la colère des puissances mythologiques et viscérales qui nous assaillent de l'intérieur comme de l'extérieur.

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24569217469_ef9fb55559_o.jpg A Sun that never sets, par Neurosis, fournaise post-hardcore, mal-être total et illumination bestiale.

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26451346372_9ee34afc2d_o.jpg The Eye of Every Storm, par Neurosis, l'aboutissement du post-hardcore, le calme avant la tempête, un calme pachydermique, extatique, rugueux, sincère et terrifiant, un ours qui lèche ses blessures avant la mort, avant le dernier assaut.

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26451346122_32baf6769b_o.jpg A Given to the Rising, par Neurosis, du post-hardcore sludge et massif, le plus forestier des albums de Neurosis, une chasse morbide vers le secret de l'existence.

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26498545136_5ee9a6f0e9_o.jpg S/T, par Neurosis & Jarboe, post-hardcore avec l'inimitable chant féminin de Jarboe, tribal, sorcier, fantômatique, électronique, hanté, culpabilisé, onirique, poétique, violent, un détour par tous les états de la vie et de la mort.

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50664891872_1f463fbbc2_o.jpg Wildflowers, par Nhor, un piano solitaire pour égrainer la tristesse qui ne se tarit jamais malgré le passage des saisons.

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25941222763_dde030c5f7_o.jpg Pyrrhula, par Nordvargr, entre dark ambient, drone et black art, au sein de cavernes vastes et profondes, au-delà du Temps, un environnement démesurément hostile.

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25831869246_0020592579_o.jpg Eye-tree-Pi, par Obiat, du stoner metal à chant clair épique, mazouté et hallucinogène, guerrier et contemplatif à la fois, désertique et labyrinthiquement touffu.

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50558322002_5286bb52b9_o.jpg Selected Organ Works, par øjeRum, un orgue soliloque pour une ambiance de recueillement, de solitude et de pluie.

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50901020656_7b9003e563_o.jpg Ladoga, par Olhava, du black metal atmosphérique à la croisée du post-rock pour une charge émotionnelle à l’occasion de la dernière chasse sauvage.

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25380350802_00959a4efa_o.jpg Pilgrimage, par Om, du doom / folk à chant clair, ritualiste, mystique et cyclique, pour un séjour dans les dédales de la raison et de l'égrégore.

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26249166000_ca93b891aa_o.jpg Geisterstadt, par Omega Massif, un post-rock lourd, triste et urbain pour une soirée de fin du monde dans une ville fantôme.

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50901136987_c91a85b5a8_o.jpg Avant le silence, par Orbes, une nappe d’orgues spectrale à n’en plus finir.

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25074966452_3a11c49fcc_o.jpg Dreaming in earth, dissolving in light, par Oureboros, du dark-ambient/electro entre ombre et lumière, soleil vert et humidité.

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26517681026_6600730466_o.jpg Affliction, Endoctrine, Vertigo, par Overmars, du post-hardcore nihiliste, entre Tom Waits sous LSD et une crieuse de désespoir, entre rêve et cauchemar, entre la fleur et la lame

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26478068861_58cf015cf6_o.jpg Born Again, par Overmars, du post-hardcore / sludgecore / dark-ambient, la chute hurlante, puis les souterrains, royaume des ténèbres, de la souffrance et des bourreaux.

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25557204460_562db1a302_o.jpg The silence in our throats will beckon the thaw, par Pelican, un album-monument de post-rock lesté de plomb et pourtant en perpétuelle ascension, un trip sous acide mystiq

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30180990022_e7615508d3_q.jpg La imposibilidad de tu nombre, par Peregrino, la dernière ligne de piano quand tout s'arrête.

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31607705831_b64614bba1_q.jpg All Towers Must Fall, par Phragments. Dark ambient pour monde en friche où sourd une menace industrielle.

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26550770188_fe9802425c_o.jpg Nag Bdud Ceremony, par Phurpa, des chants bouddhistes tibétains, d'une voix inhumaine et monocorde, de profonds chants de basse qui résonnent à travers la moelle, une muraille sonique transcendante, psychotrope.

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26432156862_bfb4d009a3_o.jpg Swarth, par Portal, du death metal occulte enfumé jusqu'à l'os, charriant le remugle, l'ombre méphitique, frénétique et baveuse de Shub-Niggurath en personne.

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24882820679_85fc127de7_o.jpg Pyramids, par Pyramids, du black metal étouffé avec un chant clair éthéré, étrange et déstabilisant.

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24882820779_9857da5a04_o.jpg Circular Time, par Ramleh, du post-rock / noise / americana / psyché-drone / power electronics chamanique et intense et circulaire et lourd et ensorcelé.

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25472696046_c63b0ab72e_o.jpg Raum Kingdom, par Raum Kingdom, du post-hardcore progressif avec chant hurlé et chant clair, pour une révolte totale contre l'inéluctable.

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25100106701_ebfa22640e_o.jpg Exilé, par Regarde les Hommes Tomber, du metal noir / screamo qui dépeint la toile du Jugement Dernier.

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25203216060_7715279d8c_o.jpg Steve Reich, Drumming, par So Percussion, une pièce de percussions sur une partition minimaliste, un parcours dans des villages, des maisons et des labyrinthes de bois circulaire, hypnotique, interminable

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50664813441_d2c89d1ca5_o.jpg Tactile Ground, par Robert Rich, de l’ambiant microtonal pour un monde du silence riche d’une vie aussi apaisante qu’angoissante.

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34179097733_f2114e3465_q.jpg Primal Sphere, par Robedoor. Entre psyché-drone et power electronics, une messe noire à la recherche de l’antimatière.

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24936892175_666371ed27_o.jpg Myrra, Mordvynn, Marayaa, par Rorcal, post-hardcore tellurique et baleiner, vingt mille lieues sous les mers et sous la terre

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50421825636_c1e74a484f_o.jpg Créon, par Rorcal. Le métal noir de l’Apocalypse.

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26522013035_3a8f1e53f8_o.jpg Anro, par Sachiko, de la musique tribale ritualiste pour un trip chamanique qui commence mal et qui finit complètement de travers.

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30154006045_d49ef41df4_q.jpg Bells, par Hiroki Sasajima, de l'ambient pour feu de camp, confidences et rêves éveillés, à base de bourdons et de field recordings, au final intersidéral.

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26518148776_682bcafc01_o.jpg Refuse Start Fires, par Scorn, dubstep sombre aux catalepsies jazzy, amas de tourbe noire de plus en plus englouti dans les marécages.

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50911582441_17900854bb_o.jpg The Earth wants us dead, par Sea of Bones, un post-hardcore / sludge écrasant pour illustrer la colère toute-puissante de la forêt. Avec une deuxième partie toute en dark ambient pour les funérailles de l’humanité sous l’humus.

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24954884640_fdec2f5bc7_o.jpg Imihs, par Shelving, post-rock aux influences kraut, une aventure au bout de la nuit, au bout des rêves, au bout des montagnes.

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27516065715_bd9b8b41c0_q.jpg Tristan Perish Surface Plane, par Vicky Show : du piano minimaliste et funambule, comme une araignée sur la ro

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26498544036_02d0582eff_o.jpg Death, Pierce Me, par Silencer, du black metal dépressif avec un chant hurlé sorcier et dément, un voyage au bout de la nuit depuis le fond du gouffre.

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24843518581_0e48510aa9_o.jpg Stormcrowfleet, par Skepticism, doom metal chthonien pour Entités Mythologiques.

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24933605136_d43a0d5f30_o.jpg Ordeal, par Skepticism, funeral doom metal orchestral pour angoisses abyssales et majestueuses.

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26550766008_09fb97118c_o.jpg Bayou Perfume Advert, par Skullflower, un drone oriental et westernisant, tropical et mystique, en crescendo répétitif, pour fumeries d’opium et poupées vaudou.

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50911714042_9de539d328_o.jpg The Magician, par Skullflower, un mur de drone forestier et de noise ancestral sans aucune nuance

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24566067863_f942e693f6_o.jpg Dopesmoker, par Sleep, un monument du stoner doom metal, caravane processionnaire des mangeurs de lotus au cœur d'un pèlerinage halluciné de lourdeur.

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25736966762_1a4db8bd05_o.jpg An Eternity of Solitude, par Sorrow Plagues, du black metal dépressif et shoegaze, avec un piano cristallin et un chant black éthéré et lointain, un souffle atmosphérique et foresti

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50910892873_bfe1f192b6_o.jpg Boued Tousek Hag Traou Mat All, par Stangala, du stoner doom métal celtique, un véritable morceau de bravoure aussi druidique que fuligineux !

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50910893678_e93dc9875f_o.jpg Not listening, par STBL, un drone tout en échos fuyants pour des réalités qui se dérobent infiniment.

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50664891892_95824d23c7_o.jpg Never were the way she was, par Colin Stetson & Sarah Neufeld. Un sax, un violon, un domaine forestier étrange, immersif, total.

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50581985238_0d125971ba_o.jpg Basement Apes Vol.1, par Sunwatchers, la circularité psyché-jazz, la transe chamanique, le non-lieu cosmiqu

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24824427789_dc12a76a4c_o.jpg Almost Invisible, par Subarachnoid Space, le pinacle du psyché-drone pour l'exploration infinie d'un temple sonique voué au dieu du mescal.

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26458399101_6722e9fa63_o.jpg More Constant than the Gods, par Subrosa, un doom metal aux accents stoner et à la production claire, emmené par un chant féminin hypnotique, pour les soirs de tristesse et de batailles incantatoires, lourdes, narcotiques et triomphantes.

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24627512985_e8f31d8e71_o.jpg 00Void, par SunnO))) (drone tellurique et terminal)

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25939165174_39971859bd_o.jpg Black One, par SunnO))), du drone / post-black metal à écouter le corps dans l'humus, le visage contre l'écorce, le cœur dans la peur, l'album des débuts primordiaux de Millevaux.

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50911582811_9f3f273fcf_o.jpg When i die, will i get better ?, par Svalbard, un métal noir à chant féminin alternant le clair et le hurlé, poussé par des thématiques de souffrance des femmes, un cri de détresse incantatoire et mélodique parfait pour un climax tout en émotions.

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26522012745_fb6d54cf71_o.jpg Great Annihilator, par Swans, du post-punk / dark folk qui brosse le portrait d'une apocalypse aussi intime que globale.

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39711153104_c81362de49_o.jpg Rust, par Swarm Intelligence, de l’électro-drone-noise mélodique à mi-chemin entre la décrépitude et l’extase.

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50608673166_5caff23470_o.jpg Auk / Blood par Tanya Tagaq, entre chant inuit chamanique revisité et violons à fleur de peau, entre l’émerveillement et la terreur.

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25557203720_386f2e126e_o.jpg Self, par Terzij De Horde, post-black metal / screamo sur la rage de vivre et la perte totale de contrôle du moi.

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25557204480_e994b9d10b_o.jpg Weighing souls with sand, par The Angelic Process, du black metal / shoegaze à chant clair, violent, beau et triste à la fois.

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50910893543_62be487db4_o.jpg Everywhere at the end of time, par The Caretaker, une épopée sonore sur l’oubli, à base de vinyles de la Belle Epoque, de plus en plus scratchés et déformés, une œuvre belle de bout en bout, mais de plus en plus éprouvante au fur et à mesure que les souvenirs, la raison et le sentiment de sécurité s’effacent. Un parcours poignant à la fois apaisé et angoissé par des intermèdes de nostalgie heureuse.

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25919545104_c5934b1871_o.jpg Al-Azif, par The Great Old Ones, du post-black metal lovecraftien intense et mélodique, parfaite mise en horreur des Entités Mythologiqu

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50911714507_9a68c6b46c_o.jpg Dommedagsnatt, par Thorr’s Hammer, l’apocalypse doom metal avec le chant féminin le plus guttural de tous les temps.

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50910892998_62ed3cd376_o.jpg Lost Shadows, In Defence Of The Soul (Yanomami Shamanism, Songs, Ritual), recorded by David Toop in 1978, une collection impressionnante de rituels chamaniques pour exorcismes de horlas mouvementés !

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50421825696_21e7d88348_o.jpg Tungunska, par The Wonders of Atomic Mutation, une pièce entre ambient drone, americana et dungeon synth qui vous transportera dans un hiver nucléaire de toute beauté.

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25938692634_ac7cb82310_o.jpg Rising Of Yog-Sothoth, Tribute To Thergothon, une cohorte funeral doom en procession lente, baveuse et caverneuses vers les cryptes de la mort décérébrée et chthonienne.

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22492083733_ab845777a4_o.jpg II, par Toundra, post-rock épique et forestier.

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25203215870_0fe2527411_o.jpg Grote Mandrenke, par Troum, de l'ambient orchestral et drone, spectral, caverneux, infini et introspectif.

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25380350112_d1f91740f8_o.jpg Symballein, par Troum, l'ambient drone d'un monde spectral, ou voix, atmosphères, terre et mer se confondent dans un flou lointain.

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26251633320_abed931c38_o.jpg Snailking, par Ufomammut, du stoner doom metal, psychédélique, électro et bruitiste, une spirale de décantation dans les bras graisseux de l'infini Roi Ver.

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25919133763_3d4e58ae85_o.jpg Svidd Neger OST, par Ulver, du sympho-electro-jazz pour une longue conversation avec la nuit.

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26466425322_6a25c03600_o.jpg 25953786224_48d490d056_o.jpg Silencing the Singing & Silence teaches you how to sing, par Ulver, dark ambient bruitiste de cabane au fond des bois, au fond de la nuit.

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50664891752_cc38e69fa5_o.jpg The Hunt, par Ulvesang, un dark folk tout de guitares sèches tendus, un voyage initiatique d’une grande majesté où dort une sombre menace.

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26522012875_87b26bc804_o.jpg The Black Flux, par Virus, entre black metal à chant clair sous zéro absolu, post-punk solidifié et jazz martial, une longue incantation nihiliste et raffinée qui traverse la moelle.

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25917073604_485abed71a_o.jpg A Grave is a Grim Horse, par Steve Von Till, de l'americana forestière et résignée, les confessions d'un bûcheron perdu à jamais.

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50664069728_b9226b3d98_o.jpg S/T par Winslow, de l’americana mélancolique, belle et inquiétante pour un voyage dans des bivouacs de lourds souvenirs.

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26298981330_6c73cb0a15_q.jpg Eating or Vomiting Its Tail, par Johan G. Winther, entre power electronics, drone et americana, de plus en plus loin en perdition volontaire parmi les arbres, en communion avec les esprits et les monstres, les cycles se répèten

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50664891847_94b892a2e5_o.jpg Hypnos / Flame, par Chelsea Wolfe. Une mélopée lynchienne aussi suave que fantomatique, aussi belle que flippante, entre pop, folk et gothique qui se seraient mélangés jusqu’à l’ivresse.

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50911714467_b657b2780e_o.jpg Abyss, par Chelsea Wolfe, du dark folk gothique embaumé d’electro, avec un chant féminin sorcier qui nous emmène loin dans les ténèbres, la souffrance et la beauté.

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50694293581_388778d929_o.jpg Void, par Wolvennest. Tout le maelström hypnotique de la totalité forestière est concentré dans cet album rituel entre psyché-drone mélodique et blackgaze ethéré.

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50910893308_b28a7c976e_o.jpg Vortex, par Wolvennest, un album de psyché-doom absolument fumeux et ritualiste, à la gloire de Shub-Niggurath et des gestes épiques de fin du monde.

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23718489732_0b66f64e17_o.jpg Black Cascade, par Wolves in the Throne Room, black metal américain spatial, ambient, symphonique, pour une plongée épique et nostalgique dans les forêts du nord

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24289394403_49ce31dd0c_o.jpg Celestite, par Wolves in the Throne Room, space ambient des explorations lointaines et terrifiantes à l'intérieur de soi-même et de la forêt.

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25132211082_8c63f09c72_o.jpg Come the Thaw, par Worm Ouroboros, musique gothique avec guitares tantôt classiques tantôt doom, autour du chant fragile d'une biche qui n'en finit pas d'attendre le dégel.

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26544148685_7f6e0713f2_o.jpg Subliminal Genocide, par Xasthur, black metal dépressif et shoegaze, une peinture des limbes entre ciel et enfer qui se complaît dans la souffrance, y trouve son lit et sa catharsis.

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26544148585_cac637658c_o.jpg Ausserwelt, par Year of No Light, départ pour l'île des morts à bord d'un post-hardcore sans parole.

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30144735742_40295b166c_q.jpg What has become of the one i love ?, par Yseulde, du post-americana lunaire et lo-fi pour un feu de camp introspectif à l'infini.

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25919134073_33c39a5eaa_o.jpg Carboniferous, par Zu, du math-rock jazzy et noisy, primitif, sauvage, insectoïde, frontal, instrumental.