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What has become of the one i love ? par Yseulde, du post-americana lunaire et lo-fi pour un feu de camp introspectif à l'infini.
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Bells par Hiroki Sasajima, de l'ambient pour feu de camp, confidences et rêves éveillés, à base de bourdons et de field recordings, au final intersidéral.
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Ancestral Star par Barn Owl, de l’americana-drone des plus psychédéliques, pour un égarement lumineux dans les strates du monde.
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Altar par Boris & SunnO))) le meilleur du drone, de la noise et de l'americana pour une transe rituelle et mélodique, entre climax de pyramide maudite et prières apaisées
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Tenaille par Brame, entre post-americana et field recordings, un western rural fait de friches industrielles, de trains qui passent et d'oiseaux humains qui aboient dans le silence.
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Aleph At Hallucinatory Mountain par Current 93, du rock / americana / dark folk au chant hypnotique et rêveur pour un enfoncement ésotérique et circulaire dans un monde occulte et alchimique très personnel.
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Hex Or Printing In The Infernal Method par Earth (americana dronisante et instrumentale pour western sous acide)
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Primitive and Deadly par Earth, americana-psyché-drone, aventure sous mescal dans une nature hallucinée.
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Lashing the Rye par Harvestman, americana dépressive, sur la superstition paysanne et la grandeur des espaces confinés.
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Tungunska par The Wonders of Atomic Mutation, une pièce entre ambient drone, americana et dungeon synth qui vous transportera dans un hiver nucléaire de toute beauté.
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A Grave is a Grim Horse par Steve Von Till, de l'americana forestière et résignée, les confessions d'un bûcheron perdu à jamais.
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S/T par Winslow, de l’americana mélancolique, belle et inquiétante pour un voyage dans des bivouacs de lourds souvenirs.
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Eating or Vomiting Its Tail par Johan G. Winther, entre power electronics, drone et americana, de plus en plus loin en perdition volontaire parmi les arbres, en communion avec les esprits et les monstres, les cycles se répètent
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Arrow and Orb par Bad Braids, un chant féminin folk, intime et wiccan.
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We are falling par By The Spirits, du dark folk à la fois désenchanté, majestueux et presque martial, qui se perd dans les tréfonds de la forêt pour émettre le triste constat de la déchéance humaine.
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L’Âtre et l’enfant par Edinbourg of the seven seas, une guitare folk sans voix pour des forêts mystiques à habiter vous-même.
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Weiland par Empyrium, du dark folk en noir et blanc, une sorte de moyen-âge fantasmé par les romantiques allemands, à la recherche d'une lumière dans la forêt.
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Death will someday set you free par Ghostly Graves, du folk occulte pour western fantôme.
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Trinity par Harvestman. Du folk psychédélique sans parole au cœur des labyrinthes de la forêt et de l’âme.
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Between the Earth and Sky par Lankum, du folk irlandais entre terre et forêt, entre les légendes et le plancher des vaches, entre la beauté et l’ordinaire.
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Lisieux par Lisieux, du néo-folk, une guitare entêtante, un chant féminin vaporeux, la forêt qui se referme sur elle. Bienveillante... ou non
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Palingenesis par Nebelung, du dark folk toute en mélancolie pour une ode à la nature aux accents de sanglots.
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A Sigur Rós tribute par Project Múkk, un instant de grâce entre folk, electro et post-rock.
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The Hunt par Ulvesang, un dark folk tout de guitares sèches tendus, un voyage initiatique d’une grande majesté où dort une sombre menace.
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Liminoid Lifeforms par Aidan Baker, ambient, post-rock et orchestre de chambre pour une nuit sans lune, sans fin et sans but sous la caresse des branches.
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V par Barn Owl, du drone ambient psychédélique comme une ruine à fleur de peau qui cache des éveils de fantômes en extase.
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Fréquence Néant par Baron Oufo, entre dark-ambient, drone et musique minimaliste, voyage au bout de la nuit, voyage au bout de la ruine, voyage au bout de sa vie.
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Black Goat of the Woods par Black Moutain Transmitter, entre synthés à la Carpenter, musique de giallo et dark ambient, une promenade en forêt où la tension ne redescend jamais.
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We are, we were and we will have been par Bong, drone-ambient à sitar, englobant, rassurant, hypnotique, qui resserre son emprise de plus en plus doucement.
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Rutsu No Hoyo par Empusae (dark ambient ritualiste)
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Aokigahara par Flowers for Bodysnatchers, dark ambient forestier à pianos fragiles.
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By the throat par Ben Frost, dark ambient, néo-classique, musique concrète, dans la neige, encerclé par les loups, ou enfermé dans un abri avec son ennemi intime.
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Mare Decendrii par Mamiffer, du piano / ambient / post-rock / noise à chant désincarné pour une mise en lumière de la désolation.
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Landscape of Descent par David D. McIntire, du drone ambient entre caverne, pluie et bois, la musique intime de la forêt.
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VII Warmth Within Endless Emptiness par Melanohelios, du dark ambient facile d’écoute, à la fois planant et glacé, humide et spectral.
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Dreaming in earth, dissolving in light, par Oureboros, du dark-ambient/electro entre ombre et lumière, soleil vert et humidité.
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The Witch Hammer par Shinjuku Thief, un dark ambient orchestral et gothique pour châteaux hantés, forêts maudites et spectres livides.
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The storm bells chime par Sol, entre dark ambient et gothique, le dialogue entre un ange et un bûcheron avec en fond la tristesse du piano et l'écorce des guitares.
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Deconstruction of the World par Sophia, du dark ambient orchestral pour le jour de sortie de l’abri antiatomique.
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Silencing the Singing & Silence teaches you how to sing par Ulver, dark ambient bruitiste de cabane au fond des bois, au fond de la nuit.
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Tourmente I par Westwind, le dark ambient de la ruine. Riche, varié, toujours mélodique et à fleur de peau. Un monde de choses détruites dans un désert d'hommes.
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Celestite par Wolves in the Throne Room, space ambient des explorations lointaines et terrifiantes à l'intérieur de soi-même et de la forêt.
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S/T par Bardo Pond, la messe mescal-folk et psyché-drone la plus triste et la plus intronaute de tous les temps marquée par un chant féminin flottant au-dessus d'un océan de drogue.
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Leaving none but small birds, par The Body & Big Brave, de la folk americana avec un chant féminin mélancolique et habité sur un fond de feu de camp de plus en plus abandonné aux ténèbres.
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The Silver Snake Unfolds, par Wailin Storms, un southern rock goudronné et épique, mâtiné d’un feeling americana pour la dérive psychotique en pleine forêt hantée par nos propres cauchemars et par de sombres entités
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Backrooms Liminal Frequencies, par Insulaires. La bande-son des espaces à la frontière de la réalité, infiniment solitaires et infiniment oppressants.
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Halls of the Wolf, par Osi and the Jupiter, une folk-americana des bivouacs et des grands espaces qui mêle incroyablement l’intime à l’épique.
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